WILDER DAYS
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Gilles Thomas

A propos

Les pépites photographiques de Gilles Thomas sont un enchantement au service du vivant. Elles n’ont d’égal que sa passion pour le sauvage, son émerveillement permanent, mais aussi son besoin d’agir, d’éduquer, de prendre la parole pour éveiller les consciences sur l’état de la biodiversité. Ses clichés sont toujours d’une incroyable évidence, qui nous ferait presque oublier combien ils sont exceptionnels. Il nous propose une avalanche de beauté dans le concert de la vie sauvage. A exposer les yeux grands ouverts !

Les mots de l’auteur

"Voyage avec deux sacs, l'un pour donner, l'autre pour recevoir"
Cette proclamation de Goethe est mon credo. Lors de mes voyages dans ces territoires où s’exprime la richesse de la biodiversité, la Nature m’a infiniment donné. Comment recevoir autant sans redonner une part du ravissement que j’ai éprouvé au contact de l’inouï. Mes photos existent pour cela et je rêve qu’elles offriront à celles et ceux qui les accueilleront, une part du bonheur que j’ai eu à les réaliser.

Interview express

Wilder Wall : La photo pour toi c’est un Art, une passion, une échappatoire, un message… ?

Gilles : Une passion à coup sûr mais certainement pas une passion autocentrée. La prise de vue est éminemment personnelle mais elle n’a de sens que si l’image qui en nait est partagée. La photographie est donc, pour moi, une passion du partage.

WW : Tu cherchais quoi ? Tu as trouvé quoi dans la photo animalière ?

Gilles : Tout ce que mes yeux et mon cœur grands ouverts pouvaient appréhender… Et j’ai trouvé dans la photo animalière la possibilité de témoigner de l’expression de la vie primale, de son équilibre parfois rude mais parfait, de l’osmose inouïe entre les composantes de la biodiversité ; bref, peut-être de ce que j’imagine être les origines …

WW : Vie sauvage, paysages, cultures ou outdoor ? Si tu devais choisir ? Changer ?

Gilles : La Vie Sauvage parce qu’elle imprime sa marque sur toutes les autres catégories et on le mesure bien - par défaut - lorsqu’on constate ce que « vie civilisée » impose si souvent négativement aux paysages et aux cultures notamment ancestrales.

WW : Ton instant photo préféré ? Une anecdote ?

Gilles : Ce n’est pas un seul instant mais un enchaînement émotionnel qui consiste à se mettre en condition de pouvoir saisir une opportunité photographique, à sublimer l’attente de la rencontre, à se nourrir de l’espoir du rendez-vous, à consentir à la perspective d’une déception qui sera, de toute façon, la source d’une nouvelle espérance et puis, si la fortune se présente, à vivre sa joie du moment accompli et de son partage.

WW : As-tu un "Graal" photographique ? Tu le cherches, tu l'as trouvé ou approché ?

Gilles : Tel qu’est mon enthousiasme permanent, la perspective du prochain rendez-vous m’emporte au plus haut point, mais néanmoins, dans quelques mois je partirai dans le Grand Nord Canadien, sur l’immense île d’Ellesmere, à la rercherche du Loup Arctique. Ce périple s'il veut me sourire, pourrait revêtir les atours de la concrétisation du rêve ultime … jusqu’à la rencontre suivante !

WW : Pourquoi proposes-tu tes photos au public ? Cette exposition c’est important pour toi ?

Gilles : Comme je l’ai dit, la substantielle moelle de ce qui m’anime est le partage. J’ai l’espoir que mes images provoqueront auprès du public le plaisir d’admirer les icones plus ou moins connues de la biodiversité puis l’intérêt pour leurs comportements et l’organisation de leur existence et enfin, des interrogations sur leur situation dans le concert de la Vie Sauvage. Admirer un superbe Lion est un ravissement, s’intéresser aux subtilités de sa vie sociale suscite l’attention mais savoir aussi que depuis 1993, 43 % de la population totale de ce félin a disparu et qu’il n’en reste plus que 20.000 en Afrique marque les consciences.

WW : Nous cherchons tous l'émerveillement. Ici sur la galerie, demain sur nos murs, toi dans l’objectif ! En quoi cet émerveillement peut être utile au monde ?

Gilles : La banalité est facteur d’insensibilité, en revanche, l’émerveillement crée une telle disposition d’esprit qu’il peut nous permettre d’appréhender et de mesurer l’ampleur de la désolation si nous venions à perdre l’objet de cet émerveillement. Si vous appliquez cette logique aux chefs d’œuvre de la Nature …

WW : Un dernier conseil pour améliorer notre relation à l’environnement, à la biodiversité ?

Gilles : Communiquer, communiquer, communiquer ! L’ignorance doit être combattu, la connaissance est le terreau de la prise de conscience qui, elle-même, peut-être le marchepied de l'action.

Bronze & Ivoire, Masai Mara, Kenya

Gilles THOMAS

Coup de cœur

Interview express

Wilder Wall : La photo pour toi c’est un Art, une passion, une échappatoire, un message… ?

Gilles : Une passion à coup sûr mais certainement pas une passion autocentrée. La prise de vue est éminemment personnelle mais elle n’a de sens que si l’image qui en nait est partagée. La photographie est donc, pour moi, une passion du partage.

WW : Tu cherchais quoi ? Tu as trouvé quoi dans la photo animalière ?

Gilles : Tout ce que mes yeux et mon cœur grands ouverts pouvaient appréhender… Et j’ai trouvé dans la photo animalière la possibilité de témoigner de l’expression de la vie primale, de son équilibre parfois rude mais parfait, de l’osmose inouïe entre les composantes de la biodiversité ; bref, peut-être de ce que j’imagine être les origines …

WW : Vie sauvage, paysages, cultures ou outdoor ? Si tu devais choisir ? Changer ?

Gilles : La Vie Sauvage parce qu’elle imprime sa marque sur toutes les autres catégories et on le mesure bien - par défaut - lorsqu’on constate ce que « vie civilisée » impose si souvent négativement aux paysages et aux cultures notamment ancestrales.

WW : Ton instant photo préféré ? Une anecdote ?

Gilles : Ce n’est pas un seul instant mais un enchaînement émotionnel qui consiste à se mettre en condition de pouvoir saisir une opportunité photographique, à sublimer l’attente de la rencontre, à se nourrir de l’espoir du rendez-vous, à consentir à la perspective d’une déception qui sera, de toute façon, la source d’une nouvelle espérance et puis, si la fortune se présente, à vivre sa joie du moment accompli et de son partage.

WW : As-tu un "Graal" photographique ? Tu le cherches, tu l'as trouvé ou approché ?

Gilles : Tel qu’est mon enthousiasme permanent, la perspective du prochain rendez-vous m’emporte au plus haut point, mais néanmoins, dans quelques mois je partirai dans le Grand Nord Canadien, sur l’immense île d’Ellesmere, à la rercherche du Loup Arctique. Ce périple s'il veut me sourire, pourrait revêtir les atours de la concrétisation du rêve ultime … jusqu’à la rencontre suivante !

WW : Pourquoi proposes-tu tes photos au public ? Cette exposition c’est important pour toi ?

Gilles : Comme je l’ai dit, la substantielle moelle de ce qui m’anime est le partage. J’ai l’espoir que mes images provoqueront auprès du public le plaisir d’admirer les icones plus ou moins connues de la biodiversité puis l’intérêt pour leurs comportements et l’organisation de leur existence et enfin, des interrogations sur leur situation dans le concert de la Vie Sauvage. Admirer un superbe Lion est un ravissement, s’intéresser aux subtilités de sa vie sociale suscite l’attention mais savoir aussi que depuis 1993, 43 % de la population totale de ce félin a disparu et qu’il n’en reste plus que 20.000 en Afrique marque les consciences.

WW : Nous cherchons tous l'émerveillement. Ici sur la galerie, demain sur nos murs, toi dans l’objectif ! En quoi cet émerveillement peut être utile au monde ?

Gilles : La banalité est facteur d’insensibilité, en revanche, l’émerveillement crée une telle disposition d’esprit qu’il peut nous permettre d’appréhender et de mesurer l’ampleur de la désolation si nous venions à perdre l’objet de cet émerveillement. Si vous appliquez cette logique aux chefs d’œuvre de la Nature …

WW : Un dernier conseil pour améliorer notre relation à l’environnement, à la biodiversité ?

Gilles : Communiquer, communiquer, communiquer ! L’ignorance doit être combattu, la connaissance est le terreau de la prise de conscience qui, elle-même, peut-être le marchepied de l'action.

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