WILDER DAYS
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Pascal Cocco

A propos

Pascal Cocco est de ces photographes qui s'inventent chaque jour une vie nourrie par la création et la contemplation du monde. Ici il nous livre sa série exceptionnelle avec une magie qui mêle la force et la douceur tout au Sud du Monde, le vol des damiers du Cap face aux icebergs de l'Océan Austral qui dérivent tels des forteresses blanches, entre le mythique Cap Horn et l'Antarctique.

Les mots de l’auteur

Je me dirigeais plus vers une carrière de cameraman au Canada quand à la vue d’un boitier argentique d’occasion derrière une vitrine j’ai commencé à photographier des écureuils autour de ma maison dans les bois... Puis je me suis aventuré un peu plus dans la forêt à la rencontre d’autres espèces. L’exploration dure depuis très longtemps désormais. Avec une formation à l’image au préalable sur Paris, j’ai délaissé la vidéo pour la photo assez rapidement. De retour en France avec un stock d’images, j’ai collaboré avec des agences photos nature, animaux et environnement quelques années. Des publications sympas dans des magazines spécialisés. Nat ‘images, National Geographic, Géo et d’autres. Je me suis alors dit que je pourrais peut-être faire ma place en tant que photographe Nature et Outdoor. D'une passion naissante à une belle aventure, me voici désormais chez Wilder Wall.

Interview express

Wilder Wall : La photo pour toi c’est un Art, une passion, une échappatoire, un message… ?

Pascal Cocco : La photographie permet d'exprimer notre créativité, de la solliciter. L’art est dans la nature, à nous de la montrer telle que nous l’observons et puis si la photo est sympa, je laisse chacun y voir de l’art ou pas. Pour certains, c’est juste une passion, pour d’autres une échappatoire et pour les plus militants un message.

Wilder Wall : Tu cherchais quoi ? Tu as trouvé quoi dans la photo Outdoor ?

Pascal Cocco : Dans un monde sans cesse à la course, la photographie invite à ralentir et à

ressentir ce qui se passe non seulement à l’extérieur, mais aussi en nous. Et à vivre pleinement le moment qui nous est accordé. Quand l’environnement me parait banal, je porte attention aux menus détails, je laisse mon regard se perdre, modifier ma perception et l’ordinaire devient tout à coup extraordinaire.

Wilder Wall : Vie sauvage, paysages, cultures ou Outdoor ? Si tu devais choisir ? Changer ?

Pascal Cocco : C’est difficile de choisir. Dès que j’ai le nez dehors face aux éléments au milieu d’un magnifique paysage ou à l’approche d’un animal sauvage, je n’ai pas l’âme à choisir, je prend le tout . Je me pose souvent la question, si je dois profiter du moment avec ou sans l’ appareil photo. Cet objet souvent est une barrière... Du coup je fais peu d’images et passe moins de temps à sélectionner sur mon disque dur.

Wilder Wall : Ton instant photo préféré ? Une anecdote ?

Pascal Cocco : Face à face avec un énorme éléphant de mer ! Un gros pacha de 3 tonnes, en Géorgie du sud. Il sortait de l’eau et s’est affaissé la tête dans le sable mou de la plage. Je l’attendais aplati aussi au sol pour lui tirer le « portrait » à moins de deux mètres. Mais ça a vite tourné court. La masse de graisse s’est relevée, son grognement et l’odeur nauséabonde sortant de sa trompe m’auront suggéré de déguerpir ou m’ évanouir.

Wilder Wall : As-tu un "Graal" photographique ? Tu le cherches, tu l'as trouvé ou approché ?

Pascal Cocco : Oh non, je ne cherche pas de « Graal » et puis c’est quoi ? Je lis souvent j’ai trouvé le « Graal » comment si après l’avoir trouvé tout s’arrête. Je m’épanouis dans la nature cela me va. Que je rentre bredouille d’une sortie ou avec quelques photos c’est du pareil au même. La nature est suffisamment généreuse pour que le « Graal » s'y trouve à toute heure.

Wilder Wall : Pourquoi proposes-tu tes photos au public ? Cette exposition c’est important pour toi ?

Pascal Cocco : Je crois que chaque chose que nous faisons à une importance et cela contribue à nous faire avancer encore... Nous proposons tous nos services, notre temps aux autres. Proposer des photos ou proposer un bon pain du boulanger aux gens, c’est tout comme. Le client est roi ! S'il aime le bon pain ou une belle photo , le boulanger ou le photographe continueront d’exercer grâce à lui.

Wilder Wall : Nous cherchons tous l'émerveillement. Ici sur la galerie, demain sur nos murs, toi dans l’objectif ! En quoi cet émerveillement peut être utile au monde ?

Pascal Cocco : L’un des bienfaits de la photographie est de pouvoir exprimer en images ce que l’on ressent intérieurement, nous réagissons à notre environnement, nous sommes plus sensibles aux beautés qui nous entourent, la lumière du soir, un rayon de soleil. Tout devient prétexte à l’exploration visuelle, et du coup, notre sensibilité et notre émerveillement se développe. Cet émerveillement peut alors être alors partagée à travers une photo dans une galerie, sur un mur.

Wilder Wall : Un dernier conseil pour améliorer notre relation à l’environnement, à la nature ?

Pascal Cocco : Je n’ai rien à dire de nouveau. Nous savons tous que la nature et son environnement sont fragilisés..Faisons en sorte que chaque jour qui passe ne soit pas pire que le précèdent. Maintenant la nature a t-elle vraiment besoin de nous pour survivre ? Je ne pense pas ! Avons nous besoin d’elle pour survivre ? C’est certains. Alors !!

L'assaut, Détroit de Drake, Antarctique

Pascal COCCO

Interview express

Wilder Wall : La photo pour toi c’est un Art, une passion, une échappatoire, un message… ?

Pascal Cocco : La photographie permet d'exprimer notre créativité, de la solliciter. L’art est dans la nature, à nous de la montrer telle que nous l’observons et puis si la photo est sympa, je laisse chacun y voir de l’art ou pas. Pour certains, c’est juste une passion, pour d’autres une échappatoire et pour les plus militants un message.

Wilder Wall : Tu cherchais quoi ? Tu as trouvé quoi dans la photo Outdoor ?

Pascal Cocco : Dans un monde sans cesse à la course, la photographie invite à ralentir et à

ressentir ce qui se passe non seulement à l’extérieur, mais aussi en nous. Et à vivre pleinement le moment qui nous est accordé. Quand l’environnement me parait banal, je porte attention aux menus détails, je laisse mon regard se perdre, modifier ma perception et l’ordinaire devient tout à coup extraordinaire.

Wilder Wall : Vie sauvage, paysages, cultures ou Outdoor ? Si tu devais choisir ? Changer ?

Pascal Cocco : C’est difficile de choisir. Dès que j’ai le nez dehors face aux éléments au milieu d’un magnifique paysage ou à l’approche d’un animal sauvage, je n’ai pas l’âme à choisir, je prend le tout . Je me pose souvent la question, si je dois profiter du moment avec ou sans l’ appareil photo. Cet objet souvent est une barrière... Du coup je fais peu d’images et passe moins de temps à sélectionner sur mon disque dur.

Wilder Wall : Ton instant photo préféré ? Une anecdote ?

Pascal Cocco : Face à face avec un énorme éléphant de mer ! Un gros pacha de 3 tonnes, en Géorgie du sud. Il sortait de l’eau et s’est affaissé la tête dans le sable mou de la plage. Je l’attendais aplati aussi au sol pour lui tirer le « portrait » à moins de deux mètres. Mais ça a vite tourné court. La masse de graisse s’est relevée, son grognement et l’odeur nauséabonde sortant de sa trompe m’auront suggéré de déguerpir ou m’ évanouir.

Wilder Wall : As-tu un "Graal" photographique ? Tu le cherches, tu l'as trouvé ou approché ?

Pascal Cocco : Oh non, je ne cherche pas de « Graal » et puis c’est quoi ? Je lis souvent j’ai trouvé le « Graal » comment si après l’avoir trouvé tout s’arrête. Je m’épanouis dans la nature cela me va. Que je rentre bredouille d’une sortie ou avec quelques photos c’est du pareil au même. La nature est suffisamment généreuse pour que le « Graal » s'y trouve à toute heure.

Wilder Wall : Pourquoi proposes-tu tes photos au public ? Cette exposition c’est important pour toi ?

Pascal Cocco : Je crois que chaque chose que nous faisons à une importance et cela contribue à nous faire avancer encore... Nous proposons tous nos services, notre temps aux autres. Proposer des photos ou proposer un bon pain du boulanger aux gens, c’est tout comme. Le client est roi ! S'il aime le bon pain ou une belle photo , le boulanger ou le photographe continueront d’exercer grâce à lui.

Wilder Wall : Nous cherchons tous l'émerveillement. Ici sur la galerie, demain sur nos murs, toi dans l’objectif ! En quoi cet émerveillement peut être utile au monde ?

Pascal Cocco : L’un des bienfaits de la photographie est de pouvoir exprimer en images ce que l’on ressent intérieurement, nous réagissons à notre environnement, nous sommes plus sensibles aux beautés qui nous entourent, la lumière du soir, un rayon de soleil. Tout devient prétexte à l’exploration visuelle, et du coup, notre sensibilité et notre émerveillement se développe. Cet émerveillement peut alors être alors partagée à travers une photo dans une galerie, sur un mur.

Wilder Wall : Un dernier conseil pour améliorer notre relation à l’environnement, à la nature ?

Pascal Cocco : Je n’ai rien à dire de nouveau. Nous savons tous que la nature et son environnement sont fragilisés..Faisons en sorte que chaque jour qui passe ne soit pas pire que le précèdent. Maintenant la nature a t-elle vraiment besoin de nous pour survivre ? Je ne pense pas ! Avons nous besoin d’elle pour survivre ? C’est certains. Alors !!

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